dimanche 28 septembre 2008

Heeralaal Pannalaal - Kisne Dekha Hai Kal (1978)


Kalicharan (1976)

Kalicharan is a 1976 Indian film directed by Subhash Ghai and starring Shatrughan Sinha, Reena Roy, Ajit, Danny Denzongpa, Madan Puri and Premnath. The film became a box office hit. The film was the directorial debut of Subhash Ghai and was the breakthrough role for stars Shatrughan Sinha and Reena Roy.




samedi 27 septembre 2008

Jonathan Richman - The Sweeping Wind (1977)

Jonathan Richman (born 16 May 1951) is an American singer, songwriter and guitarist. In 1970 he founded The Modern Lovers, an influential proto-punk band, but since the mid-1970s has worked either solo or with low-key, generally acoustic backing. He is known for his wide-eyed, unaffected (and occasionally near-childlike) lyrical outlook, and music that, while rooted in rock and roll, often draws on influences from around the world. [wikipedia]

Norman Whitfield (1943 – 2008)


Norman Jesse Whitfield (May 12, 1940 – September 16, 2008) was an American songwriter and producer, best known for his work with Berry Gordy's Motown label during the 1960s.[1] He was credited as being one of the creators of the Motown Sound, as well as one of the major instrumental figures in the late-60s sub-genre of psychedelic soul.

The hit singles Whitfield produced in his 25-year career included "I Heard It through the Grapevine", "Ain't Too Proud to Beg", "Cloud Nine", "War", "Papa Was a Rolling Stone", "Smiling Faces Sometimes" and "Car Wash". Alongside his Motown lyrical collaborator Barrett Strong, he was inducted to the Songwriter's Hall of Fame in 2004.

* 1963: "Pride & Joy" - Marvin Gaye
* 1964: "Too Many Fish in the Sea" - The Marvelettes
* 1964: "Needle in a Haystack" - The Velvelettes
* 1964: "He Was Really Sayin' Somethin'" - The Velvelettes
* 1964: "Girl (Why You Wanna Make Me Blue)" - The Temptations
* 1966: "Ain't Too Proud to Beg" - The Temptations
* 1966: "Beauty Is Only Skin Deep" - The Temptations
* 1966: "(I Know) I'm Losing You" - The Temptations
* 1967: "I Heard It Through the Grapevine" - Gladys Knight & the Pips, also
recorded by Marvin Gaye and Creedence Clearwater Revival
* 1967: "You're My Everything" - The Temptations
* 1967: "I Wish It Would Rain" - The Temptations
* 1968: "I Could Never Love Another (After Loving You)" - The Temptations
* 1968: "The End of Our Road" - Gladys Knight & The Pips
* 1968: "Cloud Nine" - The Temptations
* 1968: "Ain't No Sun Since You've Been Gone" Diana Ross & The Supremes
* 1969: "Friendship Train" - Gladys Knight & the Pips
* 1969: "Runaway Child, Running Wild" - The Temptations
* 1969: "Too Busy Thinking About My Baby" - Marvin Gaye
* 1969: "I Can't Get Next to You" - The Temptations
* 1969: "Don't Let The Joneses Get You Down" - The Temptations
* 1970: "You Need Love Like I Do (Don't You)" - Gladys Knight & The Pips,
also recorded by The Temptations
* 1970: "Psychedelic Shack" - The Temptations
* 1970: "Hum Along and Dance" - The Temptations
(later covered by Rare Earth and The Jackson 5)
* 1970: "Ball of Confusion (That's What the World Is Today)" - The Temptations
* 1970: "War" - Edwin Starr
* 1971: "Smiling Faces Sometimes" - The Undisputed Truth,
originally recorded by The Temptations
* 1971: "Just My Imagination (Running Away with Me)" - The Temptations
* 1972: "Papa Was a Rollin' Stone" - The Temptations
* 1973: "Masterpiece" - The Temptations
* 1973: "Let Your Hair Down" - The Temptations
* 1976: "Car Wash" - Rose Royce
* 1976: "I'm Going Down" - Rose Royce
* 1976: "I Wanna Get Next to You" - Rose Royce
* 1977: "Ooh Boy" - Rose Royce
* 1977: "Wishing on a Star" - Rose Royce
* 1978: "Love Don't Live Here Anymore" - Rose Royce

[wikipedia and blog Xtabays World]


vendredi 26 septembre 2008

France Gall - Der Computer nr 3



Der Computer Nr. 3 Lyrics

"sucht für mich den richtigen Boy,
und die Liebe ist garantiert für beide dabei.
Der Computer weiß genau
für jeden Mann die richtige Frau,
und das Glück fällt im Augenblick
aus seiner Kartei.

Denn einer von vielen Millionen,
der wartet auf mich irgendwo.

(Gross: einszwoundachtzig, Kragen: 39, Schuhgröße: 46, stop!)

Der Computer Nr. 3
sucht für mich den richtigen Boy,
und die Liebe ist garantiert für beide dabei.

Lange war ich einsam, heut' bin ich verliebt,
und nur darum ist das so,
weil es die Technik und die Wissenschaft
und Elektronengehirne gibt.

Der Computer Nr. 3
sucht für mich den richtigen Boy,
und die Liebe ist garantiert für beide dabei.
Der Computer weiß genau,
für jeden Mann die richtige Frau,
und das Glück fällt im Augenblick
aus seiner Kartei.

Denn einer von vielen Millionen,
der wartet auf mich irgendwo

(Alt: 22 Jahre, schwarze Haare, von Beruf Vertreter, Kennzeichen: Geld wie Heu)

Der Computer Nr. 3
sucht für mich den richtigen Boy,
und die Liebe ist garantiert für beide dabei."

dimanche 21 septembre 2008

Be fashion


Jesus is a Friend of Mine

Doppler - songs to defy (2008)



ouh ouh Doppler - songs to defy, l'album qu'on attendait depuis 4 ans est enfin sorti sur SK records . quelques chroniques de site qui en parle mieux que moi .

Perte et Fracas : "Rien de tel qu'un disque qui reste accroché à la platine, un disque dont vous ne démordez pas. Vous avez trois tonnes de musique à écouter, du neuf, de l'ancien, du coté, de l'inconnu peu propice au grand saut mais c'est ce disque qu'il vous faut et pas un autre. Là, en ce moment même, cette sensation précise et tout le reste peut aller se faire voir. Le second album des lyonnais de Doppler est de la catégorie super glue, celle qui colle aux tympans et ne vous lâche plus. Doppler aura mis quatre ans pour donner suite à Si Nihil Aliud. Une longue gestation pour s'affranchir de l'ombre des Deity Guns et autres mastodontes-ès-noise des années 90 afin de développer sa propre théorie du bruit sans renier les bases. Sept morceaux - seulement répondrez vous, ça fait peu du kilo à l'année - mais tout est travaillé, pensé dans ses moindres détails et Doppler, comme à son habitude, aime tailler sur la longueur des mouvements s'épanchant au-delà des cinq minutes pour se fracasser jusqu' à dix. Et ça, tu l'accouches pas en deux jours. Compositions tour à tour éclatées et ramassées sur elles, déliées et explosives avec une paire basse-batterie toujours aussi colossale, tant dans la précision que la force de frappe, nous gratifiant de joutes rythmiques à se damner. L'effet samba en plein milieu de We are not sick… me rend malade de bonheur. Aucun doutes, c'est deux là sont complémentaires. Quant au guitariste, il se met au niveau, n'hésitant pas à se faire encore plus mélodique que par le passé et avec cette voix légèrement trafiquée, distillée avec parcimonie et toujours à cran, ça vous donne de sacré morceaux épiques. My Third Millenium !! est un long sprint sauvage qui met à genoux pendant que 6 centimetres les met profond et en relief. Car Doppler n'hésite plus à se mettre à nu, ne plus uniquement se cacher derrière les décibels, aller au bout de son idée mélodique et donne à plusieurs reprises dans le lyrisme, un truc brutal et bouillonnant qui retourne les tripes. Les passages plus calmes n'ont rien de l'habituel cliché post-rock. De la vraie mise sous tension, pas là pour simplement faire joli et ménager l'auditeur. Maintenir la pression avec une recherche aiguë du contraste, enchevêtrée dans le tumulte, pour un vrai sens de la noirceur. Les samples continuent de se faire discret, servant l'atmosphère sans la polluer. Doppler a dépassé le stade de simple groupe noise pour partir à la conquête de territoires plus ambitieux. S'attarder sur l'écriture, aller au-delà de la simple énergie physique, toujours présente bien sûr, mais sublimée dans des jeux de construction élaborés au Black Box d'Angers avec Peter Deimel, un souhait de longue date. The Coming Out, final étendu avec une pointe de violon et de stridences, tout en retenu, progression sur la corde raide. Preuve ultime qu'un nouveau palier vient d'être passer. Doppler a élargit sa palette et provoque un sentiment de malaise comme à chaque fois que vous tombez sur un grand disque."

Positive rage
: "Il faut que ça gueule" ! C'est avec ces quelques mots que débute le nouvel album des lyonnais de Doppler. A partir de là il ne vous reste qu'une petite seconde avant de vous manger une énorme claque ! Quatre ans après l'excellent 'Si Nihil Aliud', les fils spirituels des Deity Guns reviennent donc sur le label SK (Ned, Bananas at the Audience, etc.) pour un album tout simplement énorme. Le son, capturé au mythique Black Box par le maître Peter Deimel, n'y est sans doute pas étranger, mais c'est avant tout des compositions plus travaillées que jamais qui placent cet album devant beaucoup d'autres. Toujours aussi bruyant, toujours aussi fan de ses aïeux lyonnais (Deity Guns et Bästard en tête), le trio ouvre son champ d'action, poussant plus encore ses aspects mélodiques, et laissant la place à de plus en plus de respirations dans son pugilat noise. Preuve en est le final "The Coming out" (sa fin est tout de même trop marquée Bästard) ou le passage de samba frénétique sur "We are not sick" ! Il va sans dire que les plans de batterie sont encore une fois remarquables, subtils par moment, et puissant quand les plans le réclament. Ils permettent souvent d'ouvrir les longs morceaux du trio. Côté chant, on garde cette voix légèrement distordue d'inspiration Bästardienne pour un résultat toujours aussi malsain, pendant que la guitare et la basse vous maltraitent avec un savoir-faire impressionnant. Alors, on peut peut-être demander qu'ils se détachent définitivement de l'influence Bästard / Deity Guns, encore très présente ici, mais, en attendant, avec ces sept titres (prêt de 45 minutes), Doppler s'impose irrémédiablement comme un des fers-de-lance de la scène noise française… voir internationale. Respect."

Excit : "Si il est bien un album que j'attendais plus que tout les autres en cette année 2008, c'est bien celui-ci ! 10 ans que le groupe existe et pourtant les lyonnais n'en sont qu'à leur deuxième album précédés de deux EP, dont l'incontournable "Star sexual fantasy" paru en 2001. 4 ans après "Si nihil aliud", Doppler enregistre donc ce "Songs to defy" à la black box avec Peter Deimel aux manettes. 7 titres d'une rare intensité (la formule parait classique mais vous comprendrez pourquoi en les écoutants...), d'une rage frénétique et primaire, d'une technicité à en faire pâlir plus d'un, agrémentés de voix plus présentes qu'à l'ordinaire. Chaque titre me repousse un peu plus dans les cordes jusqu'au KO final. Ce groupe m'impressionne comme chacune de leurs prestations scéniques d'ailleurs. En fait vous comprendrez qu'il est plus facile de parler de celui qu'on aime bien plutôt que celle ou celui dont on est amoureux. C'est pourquoi je ne saurais en dire davantage tout simplement parcequ'il y a des expériences qui se vivent plus qu'elles ne se racontent. Peut être légèrement en retrait par rapport à son prédécesseur "Si nihil aliud", Doppler n'en reste pas moins inégalable. Tout simplement !"

Scul Hazzards euro tour 2008


Scul Hazzards (noise rock - Valve / Rejuvenation / Slowdeath - Australie) Trio noise-punk australien et furieux est de retour pour quelques dates en octobre.

Scul hazzards - Greater good

Scul hazzards - Needle's eye

samedi 20 septembre 2008

Chakachas - Eso es el amor (1958)


Les Chakachas were a Belgium based group of Latin Soul studio musicians. Aka The Chakachas or Los Chakachas, they were formed by band leader Gaston Bogaert, ex-Los Juano Boengs and ex-The Continentals, percussion (conga & tumba); Tito Puente's singer wife Kari Kenton, vocals & maracas; Vic Ingeveldt (Dutchman from Liège), sax; Charlie Lots, trumpet; Christian Marc, piano; Henri Breyre, guitar & backing vocals; and Bill Raymond, bass guitar. All were native in Schaarbeek (a district of Brussels), or nearby Charleroi; Willebroek and Liège. They started out in the late 1950s, and had a Belgian #1 in 1958 with "Eso Es El Amor", which was sung in Spanish.

The Dead Science - Villainaire (2008)


The third album of The Dead Science is out on constellation records

Throne Of Blood (The Jump Off)



Make Mine Marvel

vendredi 19 septembre 2008

FortyOne - Different Mayonnaise [csr007] (2004)


The Mellotron


The Mellotron is an electro-mechanical, polyphonic keyboard originally developed and built in Birmingham, England in the early 1960s. It superseded the Chamberlin, which was the world's first sample-playback keyboard. The heart of the instrument is a bank of parallel linear[1] magnetic audio tapes, which have approximately eight seconds of playing time each. Playback heads underneath each key enable the playing of pre-recorded sounds. [wikipedia]

Benoit Pioulard: Idyll

El Guincho: Palmitos Park

samedi 13 septembre 2008

Take Me Away Fast


A funding trailer for the upcoming documentary film, "Take Me Away Fast", by Leigh Iacobucci. For more info on the film, please visit www.trotroproductions.com

vendredi 5 septembre 2008

Han Bennink solo (2008)

Han Bennink (born April 17, 1942) is a Dutch jazz drummer, percussionist. He is also a talented multi-instrumentalist, and on occasion his recordings have featured his playing on clarinet, violin, banjo and piano. Han is the brother of the saxophonist Peter Bennink.